Blog de dada

DevOps, bidouilleur et routard plein de logiciels libres

Vélo, Sigma Blaze et Impression 3D

Rédigé par dada / 01 décembre 2024 / Aucun commentaire



Mes activités informatiques devenant, à mes yeux, de moins en moins passionnantes à raconter, je me retrouve un peu perdu quant à l'alimentation de ce blog. Je sais que j'ai déjà digressé en parlant films, séries ou encore impression 3D alors permettez-moi de parler vélo.

Je ne sais pas si vous l'avez remarqué mais pas mal de libristes sont aussi des vélotafeurs. Du moins, vu de ma fenêtre Mastodon. Ils et elles ont réussi à me refiler le virus. Bon, il n'en fallait pas beaucoup : mon bout de ville devenant piéton, j'ai vite trouvé très utile et très simple de sauter sur un vélo pour aller un peu partout.

Sigma Blaze

Le Blaze de la marque Sigma est un feu arrière pour vélo. Il a ceci de fabuleux qu'il s'allume quand on rentre dans une sombre et qu'il s'allume quand on freine. Oui, vous avez bien lu : le feu rouge se comporte comme celui de tous les autres véhicules : il s'allume quand on freine. Magie ? Non, un accéléromètre.
Je me demande encore pourquoi l'intégralité des feux de vélo ne propose pas cette simple option. D'un côté, je me demande aussi pourquoi des cyclistes continuent d'utiliser des lumières qui clignotent alors que c'est interdit. Un feu peut être à intensité variable (rouge classique, rouge fort signalant le freinage) mais pas clignotant. Bref.

J'ai acheté ce gadget pour l'ajouter à mon équipement actuel. Problème : je n'ai pas la place sur la tige de ma selle pour deux lumières s'enroulant autour. Mon vénérable MBK Mirage récupéré chez Dynamo n'est pas vraiment prévu pour ce genre d'engins. Qu'à cela ne tienne, j'ai une imprimante 3D et un peu de plastique !

Impression 3D

Il m'aura fallu un pied à coulisse, l'excellent FreeCAD et quelques heures pour réussir à modéliser ça :



Ce dispositif va se fixer sur les tiges de ma selle à l'aide de de colliers de serrage. Je me suis clairement inspiré de ce que j'ai pu trouver sur Printables. Y'a vraiment des gens avec des idées incroyables chez les makers !
Je peux maintenant enrouler le Blaze sous ma selle et laisser la vielle lumière en dessous, sur la tige, en double éclairage de nuit. J'en suis très content !



N'imaginez pas que la photo ci-dessus représente la première version de support. J'ai fait pas moins de 6 itérations avant d'être plus ou moins satisfait. J'ai d'abord raté les trous des serflex, puis fait une pièce trop fine pour que l'élastique se tende suffisamment autour de la tige, puis décidé de rallonger la tige pour plus de sérénité puis j'ai ajouté une buttée.

J'ai imprimé la pièce en PETG. Pour le moment, ça devrait faire l'affaire. En cas de soucis dus à l'exposition prolongée aux éléments, je la referais en ASA.

Plus tard...

Ce billet ayant maintenant plus de 12 mois d’existence dans mes brouillons, je vous confirme que mon impression est top, qu'elle fait parfaitement son travail et qu'elle est très apprécié sur Printables. Content !

Bloquer la version de NodeJS pour Mastodon 4.2.0

Rédigé par dada / 28 septembre 2023 / Aucun commentaire


La toute dernière version de Mastodon s'accompagne d'un petit souci d'administration si vous utilisez Debian 12 (Bookworm) comme système d'exploitation pour votre serveur : NodeJS.

En effet, la version de NodeJS officiellement supportée est, malgré ce que dit la documentation, la 16.x et pas plus alors que Debian 12 embarque la version 18 dans ses valises. Pas de 18, pas de 20, donc. Enfin, pas exactement. Il est possible de les utiliser au prix d'une bidouille officiellement diffusée dans les réponses aux différents soucis relayés dans Github.

Enfin, si comme moi, vous n'avez pas envie de vous embêter plus que ça, voici comment faire pour être tranquille.

Installer le dépôt NodeJS 16 pour Debian 12

On commence par les keys :

sudo apt-get update
sudo apt-get install -y ca-certificates curl gnupg
sudo mkdir -p /etc/apt/keyrings
curl -fsSL https://deb.nodesource.com/gpgkey/nodesource-repo.gpg.key | sudo gpg --dearmor -o /etc/apt/keyrings/nodesource.gpg

On ajout le dépôt :

sudo echo "deb [signed-by=/usr/share/keyrings/nodesource.gpg] https://deb.nodesource.com/node_16.x bookworm main
deb-src [signed-by=/usr/share/keyrings/nodesource.gpg] https://deb.nodesource.com/node_16.x bookworm main" > /etc/apt/sources.list.d/nodesource.list

On fait le pinning qui va bien :

Dans /etc/apt/preferences.d/nodejs-mastodon ajoutez :

Package: nodejs*
Pin: release o=Debian*
Pin-Priority: -1

Package: *
Pin: release o=deb.nodesource.com
Pin-Priority: 99

Vous pouvez maintenant supprimer la version NodeJS de Debian et installer la version des dépôts que vous venez d'ajouter :
apt update
apt purge nodejs
apt install apt install nodejs=16.20.2-deb-1nodesource1

Un apt-cache pour vérifier tout ça :

nodejs:
  Installed: 16.20.2-deb-1nodesource1
  Candidate: 16.20.2-deb-1nodesource1
  Version table:
     18.13.0+dfsg1-1 -1
        500 http://deb.debian.org/debian bookworm/main amd64 Packages
        150 http://deb.debian.org/debian unstable/main amd64 Packages
 *** 16.20.2-deb-1nodesource1 500
        500 https://deb.nodesource.com/node_16.x bookworm/main amd64 Packages
        100 /var/lib/dpkg/status

Vous êtes tranquille maintenant ! Du moins, tant que NodeJS 14 est maintenu, ce qui commence à devenir un souci.

J'ai récupéré un PinePhone

Rédigé par dada / 21 février 2023 / 3 commentaires


Pour les plus pressés d'entre vous, voici ce que je peux déjà raconter autour du PinePhone :
  • Ce n'est pas un téléphone pour un usage classique.
  • J'ai la version classique, pas la pro.
  • Il a la taille d'un OnePlus 5T, c'est pas petit.
  • Il n'est absolument pas fluide.
  • Oui, on peut se SSH dedans et c'est trop cool.
  • Pourquoi l'appareil photo ?

Un PinePhone ?

C'est un téléphone de la société étasunienne Pine64. Cette entreprise propose aussi une montre que j'ai déjà testée et qui prend un peu la poussière depuis qu'elle a pris l'eau. C'est malheureux, l'unique bouton de la montre ne marche plus qu'une fois sur cinq.

Bref, c'est un smartphone, ou ordiphone, qui a la particularité d'utiliser directement GNU/Linux en lieu et place d'Android. Pour les bidouilleurs, c'est le pied, d'où mon intérêt pour la bête.

Niveau puissance, sur le papier, la machine s'en sort bien moins bien que mon vénérable OP5T qui fêtera ses 6 ans à la fin de l'année. Le décor est posé : on n’achète pas ce téléphone pour jouer.

La bidouille

Gros plaisir : j'ai déjà changé trois fois de système d'exploitation. Imaginez quelqu'un dire ça avec son téléphone classique. Impossible.

Il est arrivé avec postmarketOS, le système officiel de Pine64 basé sur Alpine Linux. Sans intérêt pour moi, j'ai tout de suite effacé la bête pour y mettre un vrai OS, un truc basé sur du sérieux, sur Debian : Mobian !

Quelques dizaines de minutes plus tard, un peu déçu, je changeais à nouveau pour Manjaro ARM. C'était un peu mieux mais je suis retourné sur Mobian par principe. Pour les curieux, la liste des distributions disponibles est par ici.

C'est agréablement simple de passer d'un OS à l'autre. On est loin des emmerdes avec Android. Ici, on branche le téléphone au PC, on le démarre en appuyant sur la touche supérieure du volume et y'a plus qu'à écrire une des images fournies par des bénévoles. C'est trop bien !

Bon, j'aurais pu pousser mes testes un peu plus loin et tester un système basé sur KDE mais c'était trop dur. J'ai trop de traumatismes avec ce machin depuis la version 4.

Les applications

Ici, c'est un peu l'échec complet pour le moment et je ne parle pas des applications de tous les jours comme celles des transports en commun ou bancaires : y'a pas, pas la peine de râler !

Je me sers beaucoup de Signal et je n'ai pas trouvé le moyen de m'en servir avec Mobian. J'ai aperçu un truc dans Manjaro ARM mais c'était clairement bancal. Je me sers encore un peu de Telegram, idem. Vous voulez naviguer sur Internet ? Ça sera avec Firefox et ça sera poussif. Ceci-dit, ça affiche la page d'accueil du Monde sans crasher le téléphone : on est pas si loin d'un truc costaud.

Y'a un truc cool quand-même : l'interface. Elle fait du bien, elle change, c'est frais. Les dernières versions d'Android me filant des boutons, un truc simple à la GNOME, c'est quand-même top.

Les appels

Pour tester les appels, j'ai du utiliser mon imprimante 3D pour imprimer un adaptateur NanoSIM vers MicroSIM, ma carte SIM étant bien trop petite pour le PinePhone. Après 15min de blabla, mes deux oreilles étaient dans un état de surchauffe inquiétant. Je ne sais pas si c'est le coup de froid qui me gonfle depuis une semaine ou le DAS du Pinephone qui est foireux. Ce n'est pas encourageant.

Alors ?

Dans l'ensemble, ça rappel un peu FirefoxOS ou Ubuntu Phone (oui, j'ai testé les deux, on ne rigole pas). On a un truc qui marchotte, qui est rigolo mais qui ne fait pas grand chose au delà du très simple. Contrairement à la PineTime qui, avec GadgetBridge, fait presque aussi bien que la concurrence.
Avec cette histoire, j'ai décidé de sortir ma tablette du tiroir sous Ubuntu Touch, la Aquaris M10 FHD. Elle tourne toujours, on dirait même que les dernières mises à jour la rendent très agréable à utiliser. M'enfin, pour du simple.

Un gros merci au fédigens qui m'a revendu son Pinephone :bisou:

Twitter va bien, merci

Rédigé par dada / 22 novembre 2022 / 5 commentaires


Cette période est épuisante. Entre la météo qui s'accorde enfin avec la saison et les projecteurs braqués sur Mastodon, un bout de Fédivers, je n'en peux plus.

Pour me détendre, je vais vous confirmer ce que certains craignent et ce que certains espèrent : Twitter va très bien. À n'en point douter.

Pourquoi ? Si vous vous posez la question, c'est que vous n'êtes pas un habitué des médias dits « alternatifs » et ce n'est pas grave. C'est une façon de faire et d'échanger qui n'est pas pour tout le monde. Des accros au rugby aux influenceuses, l'alternatif n'est d'aucun intérêt.

Quand je dis que Twitter va bien, c'est la manière dont il a façonné la consommation des échanges entre les gens via le microblogging, comme on dit, qui va très bien.
  • Un réseau doit être centré.
  • Il faut un chef ou un groupe de chefs qui prennent la responsabilité de ce qui peut y être partagé.
  • Il faut écrire en 240 caractères.
  • Il faut faire des threads, ou des fils, pour être compris.
  • Il faut que la modération provienne d'une seule entité.
  • Une marque verte bizarre certifie l’identité de quelque chose.
  • Et j'en passe.
Il faudra du temps pour que cette façon de voir le monde change, si elle doit changer.

Et ça n'est pas grave.

Cela fait des années que j'évolue dans un monde où ces règles paraissent idiotes. Ce ne sont pas les personnes qui se servent de Twitter qui sont idiots, ce sont les règles qu'elles et ils suivent et qu'ils et elles s'amusent, parfois avec élégance, à contourner qui sont idiotes. Je le pense et je le répéterai à qui veut l'entendre sans sourciller.

Est-ce grave ? Non, pas du tout.

Les histoires de Musk ne me sont d'aucun intérêt. Il a repris un réseau qui a posé des règles qui me sont étrangères. Au mieux, je soupire, au pire, je vois dévaler des gens dans mon fil d'actualité qui ne comprennent pas pourquoi Mastodon ne permet pas de faire du Twitter.

Et ça n'est pas grave.

J'ai, par le passé, écrit que ces règles étaient désastreuses et qu'elles influençaient le monde dans lequel nous vivons. Je le pense toujours. J'ai simplement pris le temps de fuir toutes les cochonneries qui s'y attachent comme les sites d’actualités à base de tweet ou de photo Instagram, les journaux qui vivent de faits divers, et j'ai déconnecté tout ce que je pouvais pour éviter des recommandations basées sur l'actualité véhiculée par les médias sociaux commerciaux. Alors, oui, effectivement, je ne suis plus au courant de grand-chose de « hypant ».

Et ça n'est pas grave.

Nous ne sommes pas toutes et tous obligé d'évoluer aux mêmes endroits avec les mêmes codes. Le Fédivers a ceci de joli qu'il permet à des gens aux codes différents de communiquer. Ailleurs, c'est pour le moment impossible mais rien ne presse et migrer d'un réseau à l'autre ne vous réconfortera pas forcément.

Et ça n'est pas grave.

La façon de voir le monde qu'offre le logiciel Mastodon est encore jeune. Elle a évolué et va évoluer. Sa dernière version permet, par exemple, d'afficher la liste des voisins bloqués. C'est une incroyable fonctionnalité par la transparence qu'elle offre. Elle n'est pas magique mais elle offre des informations supplémentaires sur ce que les modérateurs qui vous accueilleront font. C'est essentiel. Imaginez Twitter afficher la liste des comptes bloqués et les raisons du blocage ? Oui, vous pouvez sourire.

Enfin, Mastodon continue de faire du Mastodon.
Twitter continue de produire du Twitter et va bien, merci.

Brancher un capteur CO2 Ampel à Home Assistant

Rédigé par dada / 22 août 2022 / Aucun commentaire


J'ai ajouté à mon attirail de domotique un capteur de concentration de CO2. Pourquoi ? Pour pouvoir encore plus sereinement laisser tourner mon imprimante quand je suis un peu loin, mais pas que (covid). Il ne m'est encore jamais rien arrivé mais ce n'est pas une raison pour ne pas ajouter une bretelle à la ceinture.

Mon choix s'est porté sur le CO2-Ampel de Watterott. Oui, j'ai pris le même modèle que Framasky, à savoir celui avec un module wifi qui expose trois données : la concentration de CO2, la température et l’humidité.

Le projet

L'idée est d'ajouter ce capteur à mon installation personnelle de Home Assistant. Branché à ce machin, je pourrais déclencher une série d'actions pour limiter les dégâts en cas de soucis. La plus importante étant de tout de suite couper le courant de ma machine via sa prise connectée, une Shelly Plus S.

Le souci

Le souci est assez basique : le boîtier n'est pas du tout lisible par Home Assistant. Pour qu'ils se causent entre eux, je dois réussir à parcourir la page web proposée par le boîtier pour en sortir du texte lisible par HA. En bon langage de dév : faut scrapper le HTML pour sortir du JSON lisible par HA.

Le développement

Y'a plus qu'à coder un bout de python, avec flask, pour convertir le HTML qui m'intéresse en JSON puis poser le bout de code dans mon routeur pour qu'il vive sa plus belle vie au milieu de mon infrastructure maison.

import time
import requests
import os
import json
import flask

app = flask.Flask(__name__)
url_ampel = 'http://192.168.1.195'

@app.route('/json', methods=['GET'])
def home():
html_text = requests.get(url_ampel, timeout=3).text

dict = {
"co2": html_text[115:html_text.find('br',72)-3],
"temp": html_text[140:html_text.find('br',140)-3],
"humi": html_text[167:html_text.find('br',167)-3]
}

return dict

app.run(host="192.168.1.1",port=9455)


Ici, le code va interroger le boîtier sur son IP (192.168.1.195) pour récupérer l'intégralité du HTML (html_text). J'ai déjà chopé la position dans ce string des trois infos que je veux (115, 140, 167) et comme elles peuvent légèrement varier en taille, je récupère ce qu'il y a jusqu'au prochain retour à la ligne, pour être large. Le tout est stocké dans un dictionnaire et exposé sur le réseau sur l'IP du Turris Mox et via le port 9455.

Le script d'init dans le Turris

Une fois que le code est fonctionnel, il va bien falloir le mettre dans le Turris Mox pour qu'il vive en autonomie. Voici donc le contenu du fichier ampel_json qui sera dans /etc/init.d/.

#!/bin/sh /etc/rc.common

START=99
USE_PROCD=1
APPBINARY="/root/ampel/ampel_json.py"

start_service() {
procd_open_instance
procd_set_param command python3 $APPBINARY
procd_set_param respawn
procd_close_instance
}
stop() {
kill $(ps faux | grep 'python3 /etc/root/ampel_json' | awk '{print $2}')
}

Le nom est assez important puisque c'est lui que je cherche pour tuer le programme avec la commande stop.

L'intégration dans HA

Alors, déjà, HA, c'est le bordel. Il n'est pas foutu de fournir un truc simple pour modifier sa configuration. Pour lui dire d'aller gazouiller avec un peu de JSON, il faut modifier le fichier configuration.yaml et le seul moyen de faire ça consiste à ajouter l'extension File Editor qui servira d'éditeur de texte...! Bref.

Une fois que vous avez passé les 15 étapes d'installation de l'add-on, voici une façon de faire parmi tant d'autres :

sensor:
  - platform: rest
    scan_interval: 60
    name: Ampel CO2
    resource: http://192.168.1.1:9455/json
    value_template: '{{value_json.co2}}'
  - platform: rest
    scan_interval: 60
    name: Ampel Temperature
    resource: http://192.168.1.1:9455/json
    value_template: '{{value_json.temp}}'
  - platform: rest
    scan_interval: 60
    name: Ampel Humidity
    resource: http://192.168.1.1:9455/json
    value_template: '{{value_json.humi}}'
Ce que ces lignes de YAML font est, encore et toujours quand on a compris, assez simple : elles vont créer 3 entités : Ampel CO2, Ampel Temperature et Ampel Humidity et va les rafraîchir toutes les minutes.
Loin de moi l'idée de passer pour un expert en Home Assistant alors n'hésitez pas à venir me tirer les oreilles, cordialement, en commentaire.

Au final

Au final ? J'ai un capteur de CO2 qui refile des données à un truc de domotique installé sur un Raspberry Pi 4 ! J'ai plus qu'à faire une règle qui dit que si la concentration en CO2 est trop élevée, il faut couper la prise de la machine, et zou, c'est plié.

Enfin, ça fait tellement longtemps que je ne fais plus réellement de développement que j'ai souffert à chaque étape. Heureusement, la logique d'il y a 10 ans est toujours la même. Merci aux copines et copains dev' qui m'ont gentiment donné les bonnes bibliothèques à utiliser ! J'me suis quand-même bien marré !